J'essaie péniblement d'achever un roman commencé au mois de février l'année dernière, et me rends compte à quel point l'écriture est un "travail".
Il est loin le temps où j'écrivais pour me "défouler" dans ma chambre d'étudiant... tout me semble plus léger, plus technique aussi, l'éternelle recherche du bon mot... l'accumulation de détails, de choses, le parti pris matérialiste... un personnage un peu paumé, qui aimerait vivre d'autres vies que la sienne et à qui il arrive des histoires absolument... invraisemblables.
L'"auto-fiction"...