Mais je sens que mon cœur murmure et retient ma plume.
Jean-Jacques Rousseau.

mardi 31 mai 2011

Je souris en me disant que j'envoie ce message comme une bouteille à la mer. Mais ce sourire s'efface à mesure que je me rends compte que je ne suis pas libre de tout dire. Car finalement, suis-je si bien caché derrière mon pseudonyme ? Certaines personnes de mon entourage ont accès à ce blog. Je ne crois pas qu'elles le lisent, mais enfin. Il n'empêche que je ne peux pas y écrire ce que je voudrais comme je pourrais le faire dans un journal intime (qui est un truc de fille n'est-ce pas).

Une bouteille à la mer, donc. Je me sens mal et transformé depuis la lecture de ce texte, ou devrais-je dire de ces deux textes. Mais quels sont ces textes ? demande-t-on dans la salle. Allez vous faire foutre.  

Ces mots m'ont rendu malade.

Ces mots m'ont rendu malade d'abord parce que j'y ai vu la part cachée de cette personne dont je ne parlerai pas, et ensuite parce que j'y ai cru lire ma propre histoire. Mais ce n'était qu'une illusion. 


Les mots.

Malades.




Je n'ai pas le droit théoriquement d'alimenter mon blog sur mon temps de travail. Mais bon. Je n'ai pas choisi de me sentir mal, inutile et abandonné.  

samedi 28 mai 2011

Comment libérer sa pensée d'une idée fixe ?

Tout dépend de la nature de l'idée en question. La mienne en contient des milliers d'autres qui toutes se ressemblent. C'est un peu la capitale de ma pensée.

Cette idée est par définition l'objet de ma conscience. Cet objet renvoie à une réalité. Une réalité que je ne peux pas décrire, au risque de se faire heurter le principe de plaisir et le principe de réalité, comme dirait l'autre.

Le principe de réalité. Ce serait un beau titre de roman.

mercredi 25 mai 2011

Les médecins nous ont cachés que nos coeurs sont pleins de vide.