Mais je sens que mon cœur murmure et retient ma plume.
Jean-Jacques Rousseau.

mercredi 2 mars 2011

[REC]2


Celui qui a l'air de rigoler comme un con ressemble au réalisateur, Jaume Balaguero, mais après vérification ce  n'est pas lui. 
Dommage. C'eut été un petit clin d'oeil à la Hitchcock. 





Cette image est peut-être tirée du premier opus, mais LOL quand même. Espèce de grosse vache.




Par rapport au premier film, on a le droit désormais à des séances d'exorcisme, ce qui fait basculer le film du domaine du "scientifique" (une infection présentant les symptômes de la rage), à une confrontation à un certain Satan, qui visiblement est plutôt mal intentionné. 
Les méchants pas beaux ne sont donc plus seulement enragés et morts-vivants (selon les canons posés par Romero, en plus véloces, certes), mais aussi des serviteurs du Démon ; ça fait peut-être un peu beaucoup, en donnant l'impression de crouler sous les références (L'Exorciste, bien sûr, mais aussi The Thing de John Carpenter pour la scène où le prêtre "teste" le sang de l'éprouvette...). Et si la structure quant à elle est plus innovante (variations de points de vue), elle en vient à faire perdre au film tout caractère "vraisemblable".